Les avantages pour le territoire

Une filière au cœur de la transition énergétique

 

Nous sommes au stade de la réflexion et nous restons ouverts à toute suggestion autour de ce projet

Des bénéfices économiques pour le territoire

CVE La Lougnolle va générer des retombées économiques pour de nombreux acteurs du territoire

600 000

euros par an

En exploitation, injectés dans l’économie locale pour la maitenance, le transport, l’épandage

40 000

euros minimum par an

De taxes, reversées localement aux collectivités, contribuant ainsi au développement du territoire

10

emplois créés

Qualifiés et non délocalisables

Economies 

annuelles

Pour les exploitants agricoles, en diminuant l’achat d’engrais de synthèse remplacé par l’engrais organique

Une activité qui favorise l’économie circulaire

La création de la filière de valorisation de la matière organique sur le territoire illustre le principe d’économie circulaire.

Elle est à la croisée de 3 métiers :

  • Le traitement des matières organiques
  • La production d’une énergie renouvelable et stockable
    (le biométhane)
  • L’agronomie avec le retour à la terre de l’engrais organique

CVE La Lougnolle répond aux enjeux énergétiques et environnementaux des territoires et des industriels.

Valoriser localement la matière organique du territoire

Le plateau niortais est un espace à l’économie agricole et industrielle, avec notamment des industries alimentaires. Ces activités émettent de grandes quantités de matières organiques, peu ou pas valorisées localement. 

 

Moins d'une heure

C’est le rayon moyen de collecte
de la matière organique en camion.

Environ 30 000 tonnes/an

C’est la quantité de matière organique que CVE valorisera, provenant d’une grande diversité de gisements locaux.

70 %

Des matières issues du monde agricole, notamment des effluents d’élevage et des résidus de culture

20 %

Des matières issues de sous-produits des entreprises agro-alimentaires du territoire

10 %

Des matières issues des collectivités (restes de repas de restauration collective et commerciale, grandes et moyennes surfaces, graisses de restauration, etc.)

CVE ne prévoit pas de valoriser de boues de stations d’épuration urbaines.

 

Le biométhane, une source d’énergie renouvelable issue du territoire

Le biométhane produit par CVE La Lougnolle sera injecté dans le réseau local de distribution de gaz géré par GRDF.

Ce biométhane pourra aussi être mélangé au réseau de gaz naturel, servir à la consommation des foyers ou être utilisé en mobilité verte comme carburant alternatif renouvelable. 

Nous envisageons de produire en moyenne 260 m3 (mètres cube) de biométhane par heure, et ce, en continu, tout au long de l’année. La production annuelle en biométhane s’élèvera à 25 GWh/an.

 

Un engrais organique et naturel pour les terres agricoles

L’engrais organique bénéficiera aux exploitations agricoles situées autour de Prahecq.

À la suite du processus de méthanisation, l’engrais organique est stabilisé. Il est donc moins odorant que les produits qui le constituent, et qui sont parfois épandus à l’état brut sur les terres agricoles.

Un engrais contrôlé

Les caractéristiques de l’engrais sont analysées régulièrement pour assurer la fertilisation la plus adaptée aux plantes et au sol et répondre à des exigences environnementales mais aussi sanitaires élevées

Un fertilisant écologique

En recyclant les éléments fertilisants, nous économisons l’usage d’engrais de synthèse (chimiques) importés chaque année sur l’ensemble de nos exploitations agricoles

Un fertilisant économique

L’engrais produit offrira aux agriculteurs une alternative qui n’est pas sujette aux variations des prix comme le sont les engrais chimiques, dépendant des cours du pétrole ou du gaz

Un fertilisant peu odorant

À la suite du process de méthanisation, l’engrais organique est stabilisé. Il est donc moins odorant que les produits qui le constituent, et qui sont parfois épandus à l’état brut sur les terres agricoles

Un bilan environnemental bénéfique

CVE La Lougnolle pourra réduire les émissions de gaz à effet de serre d’environ 5000 tonnes de CO2 par an (source ADEME), soit les émissions annuelles moyennes de :

  • 1 500 véhicules légers parcourant 15 000 km/an
  • ou 17 poids-lourds parcourant 100 000 km/an

La valorisation locale de la matière organique permettrait de réduire le transport routier de milliers de kilomètres et tonnes de matière.